Les cybercriminels ont adopté une nouvelle tactique pour diffuser des malwares et pour lancer des attaques de phishing contre des internautes sans méfiance.
Ils détournent des domaines inactifs et les utilisent pour diriger les visiteurs vers des sites web malveillants sous forme de malvertising.
Le terme « malvertising » désigne l’utilisation de codes malveillants dans des publicités apparemment légitimes qui sont souvent affichées sur des sites web à fort trafic.
Les propriétaires de sites web utilisent des réseaux publicitaires tiers pour augmenter les revenus de leurs sites web.
La plupart de ces publicités sont authentiques et dirigent les utilisateurs vers un site web légitime, mais les cybercriminels y introduisent souvent des codes malveillants en douce.
En cliquant sur le lien publicitaire, l’utilisateur sera dirigé vers un site web hébergeant un kit d’exploitation ou un formulaire de phishing.
Dans certains cas, les téléchargements de malwares par « drive-by » ne requièrent aucune interaction de la part de l’internaute. Il suffit que le contenu du site web se charge et que l’utilisateur utilise un appareil vulnérable pour que l’attaque soit lancée.
La nouvelle tactique utilise des domaines qui ont expiré et qui ne sont plus actifs. Ces sites web peuvent toujours être répertoriés dans les résultats des moteurs de recherche pour les principaux termes de recherche. Lorsque l’utilisateur effectue une recherche et clique sur le lien (ou utilise un lien dans ses signets vers un site web visité précédemment), il atterrit sur une page de renvoi lui expliquant que le site web en question n’est plus actif. Souvent, cette page comprend une série de liens qui dirigeront le visiteur vers des sites web connexes.
Ce qui se passe souvent, c’est que ces domaines expirés peuvent être mis en vente. Il est souvent intéressant pour les acheteurs d’opter pour cette solution, car il peut y avoir déjà de nombreux liens qui pointent sur le site web en question, ce qui est notamment préférable s’ils souhaitent concevoir et lancer un site Internet à partir de zéro.
Les domaines expirés sont mis aux enchères. Les chercheurs de Kaspersky ont découvert que des cybercriminels ont profité de ces sites web mis aux enchères et ont ajouté des liens qui dirigent les visiteurs vers des sites web malveillants.
Lorsqu’un visiteur arrive sur le site, au lieu d’être dirigé vers le portail de la vente aux enchères, le lien est remplacé par un lien qui le redirige vers un site web malveillant. L’étude a révélé qu’environ 1 000 domaines avaient été mis en vente sur un site d’enchères populaire, qui renvoyaient les internautes vers plus de 2 500 URL indésirables.
Dans la majorité de ces cas, les URL étaient des pages liées à des publicités, dont 11 % étaient malveillantes et servaient principalement à distribuer le cheval de Troie Shlayer via des documents infectés que l’utilisateur est invité à télécharger. Le cheval de Troie Shlayer installe des logiciels publicitaires sur l’appareil de l’utilisateur. Plusieurs de ces sites hébergeaient également un code malveillant au lieu de rediriger leurs visiteurs vers d’autres pages web.
Ces domaines étaient autrefois des sites web légitimes, mais sont maintenant utilisés à des fins malveillantes, ce qui rend la menace difficile à bloquer. Dans certains cas, les sites affichent un contenu différent selon l’endroit où se trouve l’utilisateur et s’il utilise ou non un VPN pour accéder à Internet. Les contenus de ces sites web changent fréquemment, mais ils sont indexés et classés par catégories. S’ils sont jugés malveillants, les URL sont ajoutées à des listes de blocage en temps réel (RBL).
Une solution de filtrage web telle que WebTitan peut assurer une protection contre le malvertising et les redirections vers des sites malveillants. Si les pirates utilisent une quelconque tactique pour envoyer un utilisateur vers un site web connu comme malveillant, plutôt que d’être connecté, il sera dirigé vers une page de blocage locale, ce qui permet d’éviter les éventuelles menaces. WebTitan peut également être configuré pour bloquer les téléchargements de types de fichiers à risque à partir de ces sites web malveillants.
De nombreuses organisations ont mis en place des pare-feu pour prévenir les attaques directes lancées par les pirates informatique. Elles utilisent un logiciel antivirus pour bloquer les malwares et une solution antispam pour bloquer les attaques lancées via la messagerie électronique. Pourtant, il existe toujours une lacune dans leurs protections de sécurité et les menaces basées sur le web ne sont pas bloquées efficacement. WebTitan permet aux organisations de combler cette lacune et de contrôler les sites web auxquels les employés peuvent accéder.
WebTitan est disponible en version d’essai gratuite pour vous permettre d’évaluer la solution et de voir par vous-même comment vous pouvez bloquer les tentatives de visite de contenus web malveillants et de sites NSFW (Not safe for work), c’est-à-dire les sites qui ne sont pas sûrs pour le travail.
Pour plus d’informations sur WebTitan et le filtrage web, appelez l’équipe de TitanHQ.
TitanHQ est en train de déployer un nouveau système d’archivage des e-mails largement amélioré d’ArcTitan pour les pays de l’Union européenne et les États-Unis.
Nous allons migrer les comptes ArcTitan existants vers ce système.
La migration se déroulera comme suit :
TitanHQ vous contactera pour vous communiquer les détails de votre nouveau compte sur la nouvelle infrastructure.
Vous devrez reconfigurer votre connecteur/serveur de messagerie pour envoyer vos e-mails au nouveau serveur.
Lorsque le flux d’e-mails aura été vérifié sur le nouveau compte, le support TitanHQ fermera le compte d’origine afin qu’il ne puisse plus accepter des messages. Vous conserverez l’accès à ce compte afin de pouvoir consulter l’historique de vos e-mails en cas de besoin.
TitanHQ migrera le courrier archivé du serveur d’origine vers le nouveau serveur. Vous serez informé de la fin de ce processus.
Lorsque vous aurez vérifié la migration des données, le compte sur le serveur d’origine sera supprimé, ainsi que tous les messages archivés.
Pourquoi passons-nous au nouveau système d’archivage des e-mails amélioré d’ArcTitan ?
Le nouveau service d’ArcTitan sera fourni sous la forme d’un cluster Kubernetes hautement disponible, autoréparateur et qui peut être mis à l’échelle selon vos besoins. En tant qu’architecture de haut niveau, la solution est constituée d’un cluster Kubernetes, avec une multitude de composants fonctionnant en parfaite harmonie. Chaque composant est disponible indépendamment. Cela signifie qu’il y a peu ou pas d’interruption de service si un composant tombe en panne, car ce composant peut être mis hors ligne et réparé sans affecter les autres.
Comme dans les précédentes versions d’ArcTitan, chaque e-mail reçoit une identité unique qui lui est propre et qui reste dans les archives pendant toute sa durée de vie. Il est entièrement indexé (en-tête, expéditeur/récepteur, objet, corps du texte, pièces jointes), ce qui permet de rechercher facilement l’e-mail à une date ultérieure.
Dans la nouvelle version d’ArcTitan, les index sont distribués simultanément sur les instances d’Apache Solr et les données brutes des e-mails sont chiffrées puis stockées sur un système de stockage persistant répliqué.
La nouvelle interface graphique d’ArcTitan :
Principaux avantages de notre nouvelle solution d’archivage des e-mails :
Stockage persistant répliqué ;
Nous déployons des clusters de stockage Ceph qui fournissent des systèmes de fichiers et de stockage par blocs à haute performance, avec une réplication et un basculement automatisés des données ;
Stockage hiérarchisé ;
ArcTitan exploite la fiabilité, la redondance et l’évolutivité d’Amazon S3 pour le stockage à long terme des données archivées ;
Kubernetes ;
ArcTitan est livré sous la forme d’un cluster Kubernetes à haute disponibilité ;
Cluster de bases de données à haute disponibilité ;
La solution utilise le cluster MySQL Percona XtraDB au sein de Kubernetes pour gérer toutes les opérations de la base de données. Le cluster peut être auto-entretenu, autoréparé et mis à l’échelle avec un minimum d’effort, sans aucun temps d’arrêt.
Le terme « récession économique » peut être effrayant, quel que soit le secteur dans lequel vous intervenez, même si vous êtes un fournisseur de services managés (MSP).
Dans notre précédent blog, « Les fournisseurs de services font mieux que les autres secteurs industriels aujourd’hui », nous avons expliqué comment les fournisseurs de services font mieux que beaucoup d’autres industries. Alors que de nombreux fournisseurs de services connaissent une baisse de leurs revenus mensuels en raison de la pandémie du coronavirus et de ses retombées, de nombreux fournisseurs de services parviennent à sortir du lot, grâce à une planification adéquate et à des efforts constants en matière d’innovation.
Dans ce dossier, nous souhaitons fournir quelques conseils et idées sur la manière dont les fournisseurs de services peuvent s’imposer en ces temps difficiles.
Analyser vos sources de revenus
Bien qu’il ne doive pas être votre seule motivation, l’argent est le carburant qui maintient votre entreprise à flot.
Quelle que soit votre activité, l’argent est le meilleur pare-feu pour protéger votre entreprise pendant les périodes de récession économique. Si les comptes clients sont importants et ont une belle apparence sur le papier, ils ne constituent pas un revenu garanti.
Il est essentiel de conserver un minimum d’argent liquide pour vous permettre de traverser les périodes de mauvaise conjoncture économique.
En période de récession, les liquidités sont reines. N’ayez pas peur de négocier de meilleures conditions de paiement avec vos fournisseurs si vous avez les fonds nécessaires.
De la même manière que certains de vos clients demandent une réduction des frais pour les aider à traverser la crise actuelle, n’ayez pas peur de demander la même chose pour vos comptes fournisseurs.
Le modèle fournisseurs de services repose sur le concept de revenu mensuel récurrent. Ce modèle fonctionne dans votre intérêt et dans celui de vos clients. En tant que fournisseurs de services, vous obtenez un flux de revenus prévisibles sur lequel vous pouvez compter dans la plupart des cas.
La marge de profit inhérente à votre flux de revenus dépend du niveau de travail attribué à chaque client. L’ancienne phrase « Sachez de quel côté votre pain est beurré » s’applique au secteur des fournisseurs de services. Vous devez contrôler régulièrement les activités associées à tous vos clients et procéder à une évaluation annuelle des coûts de chacun d’entre eux.
Si vous avez un client exigeant qui demande beaucoup d’attention, mais qui ne représente qu’une petite partie de vos revenus, vous devez réévaluer les termes de ses contrats.
Comparez la valeur que représente un client trop exigeant avec les coûts d’opportunité liés à la poursuite du service de cette entreprise. N’ayez pas peur de refuser de renouveler le contrat d’un client s’il n’est pas rentable.
Le grand débat : fournir un service spécialisé ou diversifié ?
Le débat se poursuit entre les fournisseurs de services sur la manière de créer un portefeuille client. Si une clientèle composée de quelques acteurs intervenant dans des secteurs spécifiques peut vous permettre de tirer parti de votre base de connaissances et de votre expérience afin d’accroître votre rentabilité, la création d’un portefeuille diversifié de clients dans un large éventail de secteurs peut réduire considérablement votre exposition aux risques en période difficile.
Nous avons parlé avec un propriétaire d’une entreprise fournisseurs de services. Il nous a dit que de la même manière qu’il compile un mélange d’actions et d’obligations dans son portefeuille d’investissement pour réduire son exposition au risque lui permet de s’assurer d’avoir un large éventail de clients fournisseurs de services également. Il a déclaré : « Les fournisseurs de services qui étaient trop dépendantes des organismes de soins de santé se font maintenant griller. Alors que nous avons dû réduire de 30 % les frais mensuels d’un de nos plus gros clients, tous nos autres clients paient comme d’habitude parce que nous nous assurons de ne pas être trop dépendants d’un seul secteur ».
La diversification de la clientèle ne doit pas se limiter à un seul type d’industrie. De nombreux fournisseurs de services ciblent des entreprises d’une certaine taille. Une entreprise de 20 salariés a des besoins très différents de ceux d’une entreprise qui compte 200 salariés.
Le propriétaire du fournisseurs de services auquel nous avons parlé affirme ne cibler que les entreprises de 15 à 40 employés et ne s’aventure jamais en dehors de cette fourchette. D’autres fournisseurs de services, quant à eux, choisissent leurs clients en fonction de leurs infrastructures propriétaires ou de la taille de leur portefeuille d’applications tierces.
Définir vos ententes de niveau de service (SLA)
Selon le rapport de recherche annuel de IT Glue, au mois de mars, un fournisseurs de services moyen a reçu 50 % d’argent en plus qu’en février de cette année. Cela est très probablement dû au fait que de nombreuses entreprises se sont empressées de mettre en place des stratégies de travail à distance pour permettre à leurs employés de travailler depuis leur domicile et de rester en sécurité pendant la pandémie. Cela a créé une ironie unique pour de nombreux fournisseurs de services, dans la mesure où leur charge de travail augmentait alors que leurs revenus diminuaient.
Une rentabilité durable signifie que les charges de travail doivent être en phase avec les flux de revenus. Vous ne pouvez pas rester longtemps en activité si ces derniers fonctionnent en opposition.
Un autre propriétaire d’un fournisseurs de services avec lequel nous nous sommes entretenus en dehors d’Atlanta, en Géorgie, a connu des mois record en matière de rentabilité pendant la pandémie du Covid-19. Il a attribué ses succès à la bonne définition de ses SLA avec ses clients.
Ledit propriétaire a déclaré : « Nous ne prenons pas en charge les nouveaux employés ou les ordinateurs dans le cadre des contrats que nous avons conclus. Chaque heure nécessaire pour l’ajout ou la modification concernant les utilisateurs ou les appareils est facturable. Nous avons connu un nombre record d’heures facturables chaque mois pendant la pandémie du Covid-19. Ces recettes supplémentaires ont plus que compensé les pertes que nous avons subies pendant cette période difficile ».
Les fournisseurs de services ont un chiffre d’affaires moins élevé
Selon le Bureau of Labor Statistics, un organisme lié au Département du Travail des États-Unis, le taux de rotation du personnel avant la pandémie était de 43,2 %. Comparez maintenant cela aux résultats de l’enquête que IT Glue a réalisée au mois de février et qui a montré un taux de rotation de seulement 14 % pour les fournisseurs de services.
Les fournisseurs de services montrent clairement une main-d’œuvre plus résistante, ce qui est un argument de vente puissant pour les clients potentiels. Pourquoi supporter un renouvellement constant des talents informatiques internes quand vous pouvez sous-traiter certaines de vos activités à un fournisseurs de services et avoir les mêmes visages familiers que ceux des services informatiques ?
Externalisez vos propres besoins en main-d’œuvre
L’externalisation présente de nombreux avantages. C’est l’une des raisons pour lesquelles les PME passent des contrats avec les fournisseurs de services en premier lieu.
L’externalisation est particulièrement bénéfique en période de récession économique, car de nombreuses entreprises restent vulnérables à une telle conjoncture. En tant que fournisseurs de services, vous devez également chercher des moyens d’externaliser. De nombreux fournisseurs de services externalisent leur service d’assistance et leurs spécialistes techniques. Il existe sur Internet un certain nombre de sites de contrats où les entreprises peuvent demander une assistance technique pour un projet. Ces spécialistes externalisés vous permettent d’être sur le terrain lorsque vous avez besoin d’eux pour servir vos clients.
Qu’il s’agisse d’un projet ponctuel ou permanent, ces tiers sous-traitants travaillent sous le nom de votre entreprise.
L’une des idées les plus astucieuses que nous avons entendues est celle d’un propriétaire d’un fournisseurs de services spécialisé dans le soutien aux petites entreprises. Alors que le propriétaire sous-traite tout le travail de niveau 1 et 2 à des organismes extérieurs, il effectue lui-même tout le soutien de niveau 3. Les missions qu’il prend sont effectuées en utilisant un nom de profil d’employé distinct. Pour ses clients, son fournisseurs de services dispose de plusieurs spécialistes techniques.
Il a déclaré : « Nous travaillons en partenariat avec des entreprises de techniciens de terrain qui envoient des spécialistes représentant notre entreprise. Cela nous permet de réduire notre propre personnel. Comme je fais le plus gros du travail possible, notre marge bénéficiaire par client est importante ».
Poursuite de la transition vers des stratégies de travail à distance
Si vous pensez que le travail à distance n’était qu’une réaction transitoire à la pandémie du COVID-19, détrompez-vous. Selon une enquête menée auprès de 150 responsables des ressources humaines des plus grandes entreprises, 77 % d’entre eux s’attendent à ce que la tendance au télétravail se poursuive au cours des douze prochains mois.
Le PDG de Barclays a annoncé que « Mettre 7 000 personnes dans un bâtiment peut être une chose du passé. Ce nouveau paradigme du travail à distance signifie que les entreprises seront plus à l’aise avec du personnel fournisseurs de services hors site. Il est bon de se rappeler que ce nouveau modèle de travail n’en est qu’à ses débuts. De nombreuses entreprises ont effectué une transition aussi rapide que possible pour mettre leurs employés en sécurité. Les fournisseurs de services ont donc une occasion parfaite de contribuer à l’élaboration de stratégies à long terme qui amélioreront leur productivité et leur efficacité opérationnelle. »
La cybersécurité est toujours de mise
Aucune discussion sur les fournisseurs de services aujourd’hui n’est complète sans parler de la cybersécurité. Voici donc quelques vérités fondamentales à ce sujet.
Il est beaucoup moins perturbant de prévenir une menace que de faire face à ses conséquences.
Quel que soit le chaos qu’il provoque, le Coronavirus ne dispense pas une entreprise de ses obligations de conformité vis-à-vis de l’industrie ou du gouvernement.
Les pirates informatiques ont adapté leurs attaques pour tirer parti des stratégies de travail à distance et de la peur et de l’appréhension que suscite actuellement le virus.
Ceux qui parviennent à passer cette période de transition sans incident de cybersécurité gagneront la confiance des clients et des marchés qui pourront en tirer parti lorsque tout reviendra à la normale.
Concevoir une pile de sécurité commercialisable
Aujourd’hui, chaque fournisseurs de services doit disposer d’une pile de sécurité bien conçue pour ses clients. Une pile de sécurité doit englober une stratégie de sécurité multicouche, car la dépendance à l’égard d’un périmètre de pare-feu unique est désormais possible.
Une pile de sécurité efficace intègre de multiples composants tels que la sécurité de la messagerie électronique, le filtrage web, le sandboxing et la protection des points d’accès. Il est également possible d’ajouter la liste blanche des applications (AWL) et l’IPS ou l’analyse comportementale du réseau.
Une fois que ces couches de sécurité sont en place, il est important de revoir annuellement votre pile, d’évaluer vos relations avec les fournisseurs et de vous tenir au courant des nouvelles solutions qui apparaissent constamment sur le marché afin de fournir la meilleure protection possible à vos clients.
Les entreprises ont appris que la cybersécurité ne peut être ignorée. Une enquête publiée sur Darkreading.com l’année dernière a montré que 90 % des petites et moyennes entreprises envisageraient d’engager un nouveau fournisseurs de services si celui-ci propose la bonne solution de cybersécurité. Près de la moitié d’entre elles paieraient au moins 20 % de plus pour la bonne solution de sécurité d’un nouveau fournisseurs de services.
C’est là qu’intervient TitanHQ. Nous travaillons en partenariat avec plus de 1 500 fournisseurs de services dans le monde entier, en fournissant des solutions de filtrage de la messagerie électronique et du web parfaitement adaptées aux PME d’aujourd’hui. Nos solutions sont basées dans le cloud, ce qui vous permet de gérer tous vos clients via une interface unique. Il est désormais temps de rationaliser vos propres opérations tout en réévaluant votre base de clients et votre parc informatique.
Pour en savoir plus sur la façon dont nous travaillons en étroite collaboration avec les fournisseurs de services pour répondre aux exigences du marché des PME, contactez notre équipe dès aujourd’hui.
Au Royaume-Uni, une étude publiée par Darktrace a indiqué que le volume de trafic d’e-mails malveillants en six semaines, ciblant les travailleurs à distance, est passé de 12 % à 60 %.
Les pirates utilisent une grande variété d’e-mails malveillants pour cibler les travailleurs à distance. Ils ont également recours à toutes sortes d’appâts pour inciter les travailleurs à distance à cliquer sur des liens et à partager leurs coordonnées ou à ouvrir des pièces jointes malveillantes qui déclenchent l’installation de malwares.
La fraude financière s’est également développée, les gangs derrière les attaques du type BEC (Business Email Compromise) utilisent par exemple la pandémie COVID-19 pour voler des fonds sur les comptes des entreprises.
Au début de la pandémie, alors que les informations sur le virus étaient rares, des e-mails étaient envoyés pour offrir des conseils importants sur la prévention de l’infection ainsi que de fausses nouvelles sur les cas.
À mesure que la pandémie progressait et que ses effets commençaient à se faire sentir, les pirates informatiques ont commencé à envoyer de fausses demandes de dons à des organisations caritatives pour aider les personnes touchées par le COVID-19. Alors que les gouvernements mettaient en place des systèmes de soutien aux entreprises et créaient des fonds pour aider les salariés et les travailleurs indépendants, différentes sortes de campagnes ont été menées.
Celles-ci permettaient de créer des liens avec des sites web qui prétendaient offrir des subventions : de permettre aux travailleurs de choisir d’entrer en chômage technique ou de demander un soutien financier.
Les attaques se sont concentrées sur les outils utilisés par les travailleurs à distance pour se connecter à leur bureau et communiquer avec leurs collègues.
Parmi ces outils, on compte par exemple Zoom, Skype, GoToMeeting et d’autres systèmes de messagerie d’entreprise qui sont usurpés pour infecter les appareils informatiques des utilisateurs avec des malwares. Les plateformes de partage de fichiers ont également été piratées pour inciter les travailleurs à partager leurs informations d’identification.
Les données de Darktrace montrent qu’il y a eu une énorme augmentation des attaques de spoofing pendant le confinement, passant d’environ 25 % des attaques (avant le confinement) à 60 %.
Ce ne sont pas seulement les groupes cybercriminels qui mènent des attaques via le web. Des groupes de piratage parrainés par un État nation ont par exemple profité de la pandémie pour s’emparer de données sensibles, notamment les données les plus récentes de la recherche sur le COVID-19, sur les remèdes, sur les vaccins et les traitements potentiels afin d’améliorer les efforts de lutte dans leur propre pays.
Ce qui n’est pas toujours transparent dans les nouveaux rapports, c’est la façon dont l’augmentation des cyberattaques visant des travailleurs à distance s’est traduite par de véritables violations de données.
Ces attaques fonctionnent-elles ou les entreprises parviennent-elles à contrecarrer les attaques et à tenir les cybercriminels à distance ?
Il y a un décalage dans le temps entre la découverte des intrusions, la confirmation des violations de données et le signalement des attaques. Pourtant, il semble que beaucoup d’entre elles réussissent.
En avril, l’IAITAM (International Association of IT Asset Managers) a publié un avertissement, selon lequel le nombre d’incidents était bien plus élevé que prévu, bien qu’une augmentation des violations de données fût prévisible en raison de la pandémie.
Il est également évident que les développeurs de ransomwares ont redoublé d’efforts pour s’attaquer aux entreprises. Même les groupes en première ligne dans la lutte contre le COVID-19 n’ont pas été épargnés.
Les acteurs de la menace se sont concentrés sur les possibilités offertes par la pandémie. Il appartient aux entreprises de s’assurer que leurs mesures de sécurité sont suffisantes pour faire face aux attaques. La lutte contre les cyberattaques visant les travailleurs à distance nécessite la mise en place de mesures de sécurité supplémentaires. Par exemple, le filtrage DNS est une mesure qui est souvent négligée. Pourtant, elle peut améliorer considérablement la protection de votre organisation contre les menaces en ligne.
Un filtre DNS assure la sécurité contre le contenu web des cyberattaques et constitue une mesure importante à mettre en œuvre pour renforcer les défenses contre le phishing et les malwares. Même avec de solides défenses de sécurité des e-mails en place, certains messages atterriront toujours dans les boîtes de réception de vos employés. Un filtre DNS offre un niveau de protection supplémentaire en les empêchant de visiter des sites web malveillants et d’autres liens malveillants intégrés dans ces messages.
Lorsqu’un employé visite un lien malveillant, une requête DNS est émise et une recherche DNS est effectuée pour trouver l’adresse IP de l’URL. Le filtrage DNS garantit que l’adresse IP soit bloquée si l’URL est malveillante. Un filtre DNS comme WebTitan permet également aux équipes informatiques de bloquer les installations de malwares ; d’examiner l’activité de vos employés sur Internet et de gérer soigneusement les types de sites web auxquels les travailleurs à distance peuvent accéder sur les dispositifs de l’entreprise.
Si vous n’avez pas encore mis en place une solution de filtrage DNS et que vous souhaitez obtenir davantage de conseils sur la manière dont elle peut protéger les travailleurs à distance contre les cyberattaques, appelez l’équipe de TitanHQ dès maintenant.
Les employés distants étant devenus la principale cible des pirates informatiques, le moment n’a jamais été aussi propice pour renforcer les mesures de cybersécurité du travail à domicile.
Il ne faut pas sous-estimer la menace à laquelle sont confrontées les entreprises qui sont rapidement passées à une main-d’œuvre essentiellement à domicile.
Lorsque la plupart des personnes travaillent dans un bureau, sous la protection du pare-feu de l’entreprise, les services informatiques pourraient tenir les pirates à distance. Il est donc essentiel de donner à tout membre du personnel autorisé à travailler à domicile un ordinateur portable doté de protections de sécurité adaptées au niveau de risque accru.
Face à la pandémie du Covid-19, les entreprises devaient déplacer l’ensemble du personnel du bureau vers une main d’œuvre à domicile dans un laps de temps très court.
De nombreuses PME n’ont pas eu assez de temps pour offrir une formation supplémentaire à leurs travailleurs à domicile.
Les ordinateurs portables utilisés par leurs employés ont dû être fournis rapidement et les mesures de sécurité sont insuffisantes. Certaines entreprises autorisent même l’utilisation d’ordinateurs personnels par nécessité.
Les pirates informatiques se frottent les mains avec joie à leurs nouvelles cibles, c’est-à-dire les employés distants, et à la facilité avec laquelle ils peuvent attaquer les entreprises.
Au rythme de la levée progressive du confinement, les gens sont encouragés à retourner au bureau pour travailler. Il est toutefois probable que le nombre de cas pourrait continuer à augmenter. Si tel serait le cas, la distance sociale au bureau pourrait donc redevenir une problématique pour de nombreuses entreprises. Autrement dit, de nombreux employés vont devoir encore travailler à domicile.
Pour réduire au minimum le risque que ces employés tombent dans le piège du phishing ou installent par inadvertance des malwares ou des ransomwares, des mesures de cybersécurité supplémentaires devraient être mises en place.
Vous disposerez très probablement d’une solution de sécurité de la messagerie électronique pour prévenir les vecteurs d’attaques les plus courants. Mais des couches de sécurité supplémentaires sont aussi nécessaires pour améliorer considérablement votre posture de sécurité, dont l’une des plus importantes est une solution de filtrage du web.
Un filtre web empêche votre personnel de visiter des sites web malveillants, tels que ceux utilisés pour le phishing ou la distribution de malwares. Lorsqu’un utilisateur tente de consulter un site web malveillant – via un lien intégré à un e-mail de phishing, une redirection web ou une navigation web générale – au lieu d’être autorisés à visiter le site web, les employés seront dirigés vers une page de blocage locale.
Il recevra donc un message qui lui explique que le site ne peut pas être vu, car il a violé vos politiques d’utilisation d’Internet.
Un filtre web peut également être utilisé pour empêcher les employés d’utiliser leur ordinateur portable professionnel à des fins personnelles en bloquant les sites web par catégorie. Par ailleurs, il peut constituer une solution pour empêcher le téléchargement de logiciels non autorisés.
WebTitan Cloud vous permettra de renforcer la cybersécurité de votre organisation sans nécessiter d’installation de logiciel. La mise en place de cette solution est rapide et elle permet de protéger à la fois les employés travaillant au bureau et ceux distants.